-Que mes mains creusent le sol,
Et qu‘ainsi mes souvenirs se terrent,
Mais une dernière fois toucher la soie,
Puis couper ses ailes de fée.
L‘odeur de terre et de pluie l‘enivre,
L‘odeur de terre et de sang le ronge,
-Que personne ne me la prenne.
Son corps inerte lui appartient,
Mais il ne jouera plus avec elle,
-Je l‘ai usée à trop l‘aimer..